Pour mon premier Salon du livre du côté des exposants, j'ai eu le droit à une alerte à la bombe (youpi.)
Nous avons donc été bouté en plein milieu de l'aprem, au moment du plus fort afflux de visiteurs, et nous avons passé une heure à poireauter dans le crachin. Ne nous démontant pas, nous avons changé des chansons de Didier Super (on va tous crever, on va tous crever...) et improvisé une séance de dédicace de Pierre Pevel dans une cabine téléphonique.
Parce que rien n'arrête la littérature !!!
Quand on a finalement pu rentrer de nouveau, on avait perdu une heure et demi, et les trois quart des visiteurs s'étaient tirés. J'ai profité du désert pour aller faire mon tour Au Diable Vauvert, où j'ai acheté un bouquin qui a l'air super drôle, "En remorquant Jéhovah", conseillé par le collègue qui m'avait déjà vendu Demain une Oasis, d'Ayerdhal. Et puis j'ai bu leur pastis aussi. Parce que quand même.
Et sinon, j'ai chopé Royaume Désuni que j'ai commencé à lire en rentrant, j'ai fais dédicacer mon exemplaire de Remember par Benjamin, qui a fait tout le trajet depuis la Chine pour le salon (ce type dessine décidément vraiment trop bien, c'est super spécial, mais qu'est-ce que ça claque...), et j'ai donné un coup de pied à Boulet.
Sans faire exprès le coup de pied hein, je l'aime bien moi, Boulet.
Et puis moi contente, j'ai fais découvrir pas mal de fois Mélanie Fazi et Ange a de futurs lecteurs fans.
Je ferais pas ça tous les jours, j'ai mal partout et hier j'ai déjeuné à 18h assise par terre dans la réserve, mais c'est cool le Salon du livre.